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Len parrot’s memorial lift
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Producteur
: Non disponible |
Distribution
: Rough trade |
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Chronique
i-muzzik.net ( Harry
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Dans la longue histoire de la musique, les « fils de.. » tiennent une place de choix. De Jeff Buckley à Sean Lennon en passant par Eric Mingus ou Neneh Cherry, beaucoup d’enfants de songwriter ou de musiciens ont tenté de suivre les traces parentales avec plus ou moins de réussite tout en essayant de cultiver son propre champ créatif. Baxter Dury est de ceux-là. Mélancolique, impeccablement arrangé, « Ten parrot’s memorial lift » est un premier disque chatoyant sur lequel Baxter Dury prend immédiatement ses distances avec le fantôme paternel pour s’inscrire davantage dans une lignée qui des Tindersticks à Portishead (Adrian Utley a participé à ce disque) font de la sensibilité, de la beauté du sombre un sacerdoce indépassable. « Ten parrot’s memorial lift » est un album délicat sur lequel Baxter Dury expose ses toiles sans une once de prétention. Il faut dire qu’il n’a aucun besoin de ce faire valoir qu’est la prétention tant ses morceaux tiennent la route toute seule. |
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Extrait de l'album |
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